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Texte et photos : Cathy Ferré EN IMAGES
VENEZUELA : des merveilles naturelles insoupçonnées
Les raisons de partir au Venezuela ne manquent pas : depuis que ce pays est le moteur de la transformation économique et sociale
en Amérique latine, l’une des motivations du voyage, c’est de découvrir comment la « République bolivarienne » met en pratique
l’héritage du « libertador » Simón Bolívar et vit un processus révolutionnaire inédit. Un petit tour dans les quartiers populaires de
Caracas permet de mesurer les résultats de la lutte contre les inégalités et le dynamisme de la participation populaire.
Mais lorsque le militant solidaire se transforme en voyageur et parcourt le pays, il découvre des merveilles naturelles insoup-
çonnées : forêt vierge amazonienne, savanes du plateau guyanais ponctué de cascades splendides, déserts, grandes plaines des
Llanos, hauts sommets de la Cordillère des Andes, plages de carte postale, récifs coralliens… Cette nature superbe, protégée grâce
à l’existence de parcs nationaux qui garantissent une faune et une flore exceptionnelles, laisse sans voix. Le Venezuela, c’est le pays
des records : 3ème plus grand fleuve d’Amérique latine (l’Orénoque), chute d’eau la plus haute du monde (le Salto Ángel), plus haut
téléphérique du monde (le Pico Bolívar 5 007 m), plus anciennes formations géologiques (les étranges « tepuys »)…
Plusieurs villes coloniales, liées à l’histoire des guerres d’Indépendance, permettent également des haltes passionnantes : Coro,
Ciudad Bolívar, Río Caribe, Puerto Colombia en sont des exemples.
Le Venezuela, c’est enfin et surtout un peuple aux visages et aux cultures multiples, fruit du métissage et de la cohabitation entre les
populations indigènes, les descendants des colons et des esclaves africains.
Un peuple chaleureux, joyeux, solidaire, combatif, toujours prêt à partager idées, expériences et moments festifs ! Un peuple qui à
lui seul vaut le voyage… avec FAL Voyages bien sûr !
Héros du soulèvement anti-colonial
ayant abouti à la naissance du Venezuela,
de la Colombie, de l’Equateur,
du Pérou et de la Bolivie,
Simon Bolívar est le Père de la Patrie :
son ombre veille sur toutes les villes
et tous les villages du pays.
Dans les boutiques, le buste du Comandante Chávez rejoint San Agustín : un « barrio » de Caracas parmi d’autres : au fil des ans,
désormais d’autres symboles, profanes ou religieux. les collines autour du centre ville ont été recouvertes de maisons vétustes
construites de bric et de broc. Les changements depuis le début du processus y sont palpables :
amélioration de l’habitat, participation citoyenne dynamique, missions sociales...