Un leader indigène et environnemental assassiné au Mexique. Asesinato de un lider indígena y ambientalista en México (Observatoire des Multinationales/Reporterre/ La Jornada)

Mexique : assassinat d’un leader indigène opposé à un projet gazier impliquant des multinationales européennes  (Observatoire des multinationales)

Samir Flores, leader indigène et fer de lance de l’opposition au Proyecto Integral Morelos, a été assassiné le 20 février dernier au Mexique. Ce mégaprojet gazier est porté par de nombreuses multinationales européennes, dont Nissan et Saint-Gobain.

Samir Flores, leader indigène náhuatl, a été assassiné de deux balles dans la tête le 20 février dernier dans son village natal de l’État de Morelos, au Mexique. Il était l’un des fers de lance de l’opposition au Proyecto Integral Morelos (PIM), un grand projet incluant notamment la construction d’un gazoduc et de deux centrales thermoélectriques dans les États de Puebla, Morelos et Tlaxcala, au Sud-Est de la capitale mexicaine. Le meurtre a eu lieu quelques jours à peine avant la tenue d’un référendum local très contesté autour du PIM (…)

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Un écologiste opposé à une centrale thermique assassiné au Mexique (Reporterre/ source Ecowatch)

Le pipeline devrait traverser Amilcingo, le village natal de Soberanes, avec un impact probable sur la santé, la sécurité et la qualité de l’eau des communautés en grande partie indigènes de la région environnante.

Militant des droits de l’homme, producteur pour une station de radio communautaire et opposant de longue date au Proyecto Integral Morelos, Samir Flores Soberanes, un Náhuatl autochtone, a été tué de deux balles dans la tête, mercredi 20 février, à son domicile dans la ville d’Amilcingo, dans l’État de Morelos, à 120 km au sud de Mexico (…)

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Amilcingo despide con flores, lágrimas e indignación a Samir Flores (Gloria Muñoz Ramírez/ La Jornada)

Amilcingo, Morelos. Un cortejo popular inundó las calles de Amilcingo. Todo el pueblo despidió a Samir Flores con música, flores y lágrimas, incluso sus contrincantes lo lloraron. “Samir moriste, pero nunca te vendiste”; “Si Zapata viviera, con nosotros estuviera”, “Samir no murió, el gobierno lo mató”, fueron algunos de los gritos seguidos de aplausos y vivas, además de las consignas de rechazo a la termoeléctrica de Huexca (¡Agua sí, Termo no!) contra la cual Samir encabezó la lucha no sólo en esta comunidad, sino prácticamente en todo el Oriente de Morelos. “De Norte a Sur, de Este a Oeste, ganaremos esta lucha, cueste lo que cueste”, corearon camino al panteón comunitario.

En el pueblo no se admitió la declaración del fiscal de Morelos que vinculó con el asesinato al crimen organizado. “Su lucha contra la termoeléctrica y el gasoducto de Huexca es el fondo de todo”, reitera Samantha César, del Frente de Pueblos en Defensa del Agua y de la Tierra de Morelos, Puebla y Tlaxcala, organización a la que pertenecía también Samir (…)

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